mais ne permet pas de prolonger les séjours en demandant un titre de séjour salarié.
L’accord franco-canadien signé le 14 mars 2013 prévoit que les jeunes, désireux d'effectuer un séjour de découverte touristique et culturelle dans le pays dont ils ne sont pas ressortissants et souhaitant y travailler occasionnellement pour compléter leurs ressources financières, bénéficient d’un visa, éventuellement renouvelable pour une durée totale de deux ans. Mais cet accord, qui a été conclu pour faciliter la mobilité temporaire des jeunes ressortissants des deux pays dans le respect des droits et obligations prévus par la législation de chacun des deux pays, ne leur donne aucun droit à prolonger leur séjour et à bénéficier d’un titre de séjour autorisant l’exercice d’une activité professionnelle.